sans paroles…
(texte : Quand on sait qu’un industriel a donné à des rues le nom des villes où il a fait des affaires, comme New-York, Londres ou Paris, on se dit que s’il avait fait son business à Bamako, Valparaiso ou Caracas ça sonnerait plus joli.)
(fresques murales d’Eric Lacassin, qui précise ci-dessous – voir commentaire – que 17 artistes, de Grenoble, Séville et Amsterdam ont collaborré à ces peintures murales, que l’on peut voir dans le passage sous la voie ferrée, entre cours Berriat et place de la Gare)
Les fresques retracent des tranches de vie. De celle de Pompéi, conservées intactes malgré les hautes températures de l’éruption du Vésuve, à celles de Los Angeles initiées par Diego Riviera et autres peintres mexicains et constituant le docu. d’Agnès Varda intitulé Mur, murs.
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Merci pour la diffusion de mon travail!!!
Par contre cette fresque à été effectuée par 17 artistes de Grenoble, Séville et Amsterdam, il faut le préciser.
Encore merci et à bientôt.
Lacassin eric
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Bonjour Michele, de retour? (merci pour la carte!). Oui, on peut imaginer, dans 50000 ans… que l’on découvre ces fresques là, sous des tonnes de cendres nucléaires… les historiens du moment (qui auront probablement des têtes d’insectes) spéculeront sur la vie à Grenoble dans les années 2000. Ils en déduiront sans doute que les Grenoblois de toutes origines vivaient dans l’harmonie… ce qui n’est pas loin de la vérité!
Lacasssin: je vous remercie de votre visite sur ce blog. Je suis content de voir que vous êtes plutôt satisfait qu’on montre votre travail. Bravo en tout cas, et félicitations pour toutes ces fresques qui animent la ville et montrent une communauté vivante et joyeuse. Oui, une autre image de Grenoble que celle qui est véhiculée ces temps-ci…
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>Alain L. oui de retour pour bosser 🙂
Harmonie je suis pas sûre, mais beau melting pot en tout cas. J’aime bien la vie qui ressort de ces tableaux, le gosse qui court, les amoureux qui s’embrassent, la fille avec son sac à main plus gros qu’elle, la chouette coiffure afro de la nana qui pousse le landau, où traîne un nounours.
C’est beau.
Merci à vous de l’avoir situé géographiquement.
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