Allez, jouons un peu. Mishima, Dazaï, Zorn… dans les extraits littéraires que j’égrène depuis quelques temps, il y a une sorte de logique, une logique d’association d’idées. Le Japon: Mishima, Japon encore: Dazaï, puis de « petite phrase en petite phrase », de « j’ai vécu une vie remplie de honte » à « je suis malheureux, névrosé et seul », on est passé à Fritz Zorn. Question : dans la lancée, qui sera le prochain?
Indice: un écrivain français, cette fois, dont l’oeuvre maîtresse a été magnifiquement préfacée par Jean-Paul Sartre.